Rencontre avec Camille Timmerman

Qui es-tu ?

Camille, 35 ans, je viens d’Ardèche et je suis Strasbourgeoise depuis 2013. J’ai fait un Master Communication Humanitaire et Solidarité à Lyon. Je suis venue faire mon stage de fin d’études à Strasbourg, chez Médecins du monde. Ensuite, j’ai fait un service civique chez Caritas Alsace.

Depuis juin 2014, je travaille chez D-Clic. On est une association qui œuvre pour l’orientation positive et choisie des jeunes collégiens à Strasbourg.

Comment es-tu arrivée à la Musau ?

J’ai commencé le foot en 2017 à l’AS Neudorf, puis à La Wantzenau, Hipsheim et la Musau depuis juin 2023.

Et que fais-tu aujourd’hui à la Musau ?

Je joue en seniors féminines et je suis la happiness manager de l’équipe. Je suis garante de la bonne entente et du bonheur de l’équipe. On propose des activités de cohésion extra-football. On crée des conditions de dialogue pour aborder les problèmes de façon constructive.

J’essaye aussi de donner un coup de main au club et de motiver mes coéquipières à faire de même.

En ce moment, on discute avec Bernard, le vice-président du club, pour créer au sein du club des événements pour accompagner les jeunes et leurs familles dans leur orientation scolaire et professionnelle. Notre but : encourager la réussite de toutes et tous !

Quelles sont tes premières impressions à l’AS Musau ?

C’est un club très accueillant, dynamique. Je suis impressionnée par le temps que donne les bénévoles pour le projet du club. Et je suis impressionnée par l’ambition sociétale du club avec beaucoup de projets déjà menés et d’autres en devenir.

Pour moi, un club sportif est un endroit idéal de transmission. Les gens y vivent et c’est dans les clubs que l’on peut transmettre des valeurs et les encourager à vivre leurs rêves.

Un rêve pour la Musau ?

Que chaque personne qui passe par la Musau trouve sa voie et s’épanouisse dans sa vie.