Rencontre avec Evan Heili

Qui es-tu ?

Je m’appelle Evan Heili, marié, deux filles, Elyna 5 ans et demi, et Lyana qui vient d’avoir trois mois. Dans la vie professionnelle, je suis comptable.

Comment es-tu arrivé à la Musau ?

Je jouais à Sand avec Oliver Flick, et quand Olivier est revenu à la Musau puis a pris récupéré la présidence du club, on a été plusieurs à la suivre. Mon père avait joué à la Musau et j’en avais une bonne image.

Et que fais-tu à la Musau ?

Au cours de cette saison, j’ai repris l’équipe 1 et je continuerai l’an prochain. On joue en D2 et j’aimerais remonter l’équipe en D1 le plus vite possible. En ce moment, on est en plein recrutement. Le noyau de l’équipe reste et j’essaye de compléter avec des renforts en lesquels j’ai confiance.

Comment vois-tu ton rôle à l’AS Musau ?

Etant jeune, j’ai toujours joué à des niveaux corrects. A 16 ans, j’étais surclassé et je jouais en DH à la FAIG. Du coup, en tant que coach, j’essaye d’apporter mon expérience, surtout aux jeunes d’aujourd’hui. Notre équipe est plutôt une équipe jeune. Humainement, j’aimerais développer la cohésion humaine et l’intégrer encore davantage dans la vie de l’AS Musau, qui est un club familial. Si, en plus, mes joueurs pouvaient s’impliquer dans l’encadrement des jeunes, ce serait tout bénéfique. Ça voudrait dire qu’ils ne viennent pas seulement jouer en équipe 1 masculine, mais pour participer à la vie du club.

Un rêve pour la Musau ?

Que toutes les équipes seniors progressent et qu’on atteigne le niveau régional dans les prochaines années. Mais je veux aider Tahina et contribuer à créer une belle école de foot pour les jeunes.